Après une lutte
acharnée, c'est donc Google, le géant américain d'Internet, qui a
finalement acquis les droits d'utilisation du processus découvert
par l'équipe du Pr. Abe permettant de mesurer l'étincelle dans
l'oeil d'un enfant exposé à un chef d’œuvre.
La firme de
Mountain View a tout de suite émis un communiqué assurant ses
actionnaires que le montant versé était un investissement pérenne.
Google table en effet sur une monétisation des résultats,
permettant d'attribuer un quotient-étincelle, qui viendrait pondérer
le prix des produits culturels disponibles via Youtube, Google Books
et autres.
"C'est le
premier pas vers une privatisation intégrale de l'étincelle dans l’œil d'un enfant" a déclaré aujourd'hui un représentant
du syndicat SNES-FSU interrogé par nos soins "Or, une telle
étincelle, tout le monde vous le dira, ça n'a pas de prix. Le
ministre de l'éducation nationale a réservé sa réponse, se
contentant de déclarer qu'il n'était "pas opposé"
à une utilisation de ce procédé par l'inspection académique, martelant au passage son credo "L'éducation nationale a avant tout
besoin d'une culture de l'évaluation. Tout ce qui y contribue va dans le bon sens."